Record battu !!!

Vendredi 4 mai, le FVSY avait rendez-vous pour le match retour contre Lapalisse.
Au match aller, nous l'avions emporté 4-2, après une partie enthousiasmante des deux côtés, mais au-delà du score nous avions pris énormément de plaisir à jouer ce match d'un niveau élevé et d'un esprit tout à fait excellent.
Nous avons toujours considéré ce fameux match comme la partie de référence de notre jeune histoire.
15 Saint-Yorrais s'étaient déplacés au stade de Lapalisse (si si, 15 !):
Thierry,Couss,Toufik,Olivier,Madel,Denilson,William,Kiki,Christophe,Didier,Yannick,Stanley,Carlos,Coach Vahid, Bébert.
Terrain en stabilisé, avec les pluies de la veille le résultat était peu brillant ( je sais, le terrain ne fait pas tout...)
Bon , on peut dire d'ores et déjà que Madel nous a mis une sacrée belle tête, et que ce but à l'extérieur fait du bien à notre moral...
Quant aux ..six  buts encaissés par le FVSY, que dire sinon que l'on a été tout d'abord cueilli à froid,
puis ensuite cueilli à chaud, bref que c'était pas le jour, mais on retiendra ce fait encourageant: la deuxième mi-temps fut équilibrée, et les jaunes ont eu de nombreuses occasions de réduire le score...
Résultat final : 1-6 , c'est le record à ce jour, la plus belle raclée de l'histoire du club, nous espérons que ce record tienne le plus longtemps possible, et surtout qu'il ne soit pas approché trop souvent .
Le fait du match est illustré par LA VIDEO CI-DESSOUS:
Sur une ouverture lumineuse,  Stanley (doyen )  lance Bébert (vice -doyen) sur l'aile droite pour un face à face avec le gardien...hélas, le vice -président du Stade Saint-Yorrais se fait une feinte de corps à lui-même, suivi d'un roulé boulé du meilleur effet, stratégie qui aurait pu être payante, il arrive dans ces cas-là que le gardien adverse ,mort de rire, perde ses moyens...il n'en a rien été, mais c'était bien tenté !
Au moins il sait qu'il peut toujours compter sur ses petits camarades pour le chambrer pendant des mois !
Casse - croûte et retour au pays, le goal average a pris une calotte mais pas le mental, vivement dans quinze jours, que l'on recoive dignement les sudistes  de Saint-Mandrier, espérons seulement qu'ils apporteront le soleil dans leurs bagages.